dimanche 13 septembre 2009

Réalité urbaine...

Mise à disposition de toutes les têtes trop lourdes
Admettant l’absorption de la chaleur sourde.
Crescendo de corps allongés au sol
Avec tout ce que cela comporte de misère qui désole.
Dans la ville endormie à l’isolement,
Alors le pied trébuche aisément.
Monde loin d’être innocent…

6 commentaires:

  1. *** Bonsoir Karine ! ***

    Tu as raison de parler de cette misère dans la rue. Le plus souvent elle existe sous nos yeux et on la regarde à peine, comme si elle faisait peur !

    Merci pour ce poème qui touche parce qu'il est vrai.

    *** GROS BISOUS A TOI KARINE ***

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  2. c'est vrai qu'on peut trouver certains bons reperes quand tout ce qui vous touche y permet de rester les pieds dessus et surtout en restant debout...y trouver refuge ,et si endormir ,en esperant qu'une bonne etoile vienne vous couvrir,alors un autre domaine,une autre appartenance,devenir pour eux un"QUIDAM"et avoir elu domicile sur le MACADAM.....tres joli texte,Tit Karine

    Gros bisous
    Esquisse

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  3. Sur mon bateau, il y a bien du goudron, mais avec des plumes !
    Macadam comme le cow-boy, et cette chanson lancinante, un film qui fait flipper...

    Besos et bonne nuit miss Karine
    Jack

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  4. tu décris très bien cette atmosphère pesante et la tristesse de ce monde ou tant de malheureux survivent comme ils peuvent, et si souvent au milieu de l'indifférence !

    je t'embrasse Karine, ou es tu ???

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  5. coucou karine,quelques nuages non annonçés,frapperaient ils sur ton toit?j'ai la solution pour la dissolution,une grosse expiration et un grand souffle!!!
    Allez gros bisous
    Esquisse

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  6. Tous les samedis en conduisant Selma à l'école de musique, je croise le regard et le sourire d'un (jeune) homme qui mandie. Je lui souris, lui offre qq mots faute de pouvoir faire plus.... Ca me révolte de la voir là...

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