Faut pas heurter les murs
Tête la première.
Faut pas cogner l'enflure
Qui suit juste derrière.
Faut pas aimer le prochain,
Ca meurt le lendemain.
Le vide revient toujours,
On est seul dans la tour.
Les oiseaux par la fenêtre
Chantent pour leur propre bien-être.
Faut peut être pas rêver,
Ca finira par te retomber sur le nez.
Les pâles de cet hélicoptère tournent en moi,
Prêts à décapiter chaque parcelle d'émoi.
Je ne peux pas dormir,
Toujours ce bruit qui dérange,
Journée qui passe par le pire
Dans une vie qui démange.
Je pourrais continuer pendant des pages et des pages; ce nuage gris-noir qui m'accompagne à chaque pas. Il est là, compagnon fidèle! Certains me diront: il ne tient qu'à toi de l'éloigner... ignore-le, il finira par t'abandonner, se lasser... Peut-être!
Mon 7ème (ciel?) étage m'a accueillie avec ses défauts mais j'y suis chez moi et il est à mon image; je vous montrerai un peu si vous le voulez, mais laissez-moi le temps de m'organiser, me poser dans ce nid où il reste pas mal à construire...