vendredi 1 mai 2009

Tranquillité

Assise au pied de ce grand chêne, 
Lieu consacré de ma peine, 
Je rêve.
Le vent soulève doucement mes cheveux,
Tout occupé à mon tendre aveu
Sur la grève.
La scintillante voute céleste me contemple
Lors de ce songe loin du peuple,
La lune s'élève.
Je suis des yeux un nuage esseulé,
L'esprit vidé de toutes pensées,
Simple trêve!

4 commentaires:

  1. Tu écris çà tellement joliment
    Je t'embrasse Karine

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  2. Ta poèsie fait du bien, Karine, et calme mes ardeurs d'impertinent pirate.
    Joli nuage...

    Bon jour !
    Jack

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  3. Contente que ca vous plaise; j'ai fait un peu different dans la structure. Je crois que je me suis perdue dans ce reve, restee accorchee au nuage...
    Bon soir
    bisous

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  4. J'ai bien connu se grand chene,il suffit d'essayer de grimper tout en haut,et la tout s'eclaircit et meme que tu peux decrocher toute sortes de reves,si si .Bisous Karine...

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