vendredi 8 mai 2009

Nature au réveil

Etat de veille
Pensées vermeilles.
Mon coeur se serre
Ma plume espère.
Mon oeil s'égare au-dehors
Ou un rayon de soleil éclaire l'aurore.
Un oiseau m'appelle
Ou est-ce l'éclat d'une coccinelle?
Je m'oublie dans cette nature
Où, malgré tout, m'interpellent tous ces murs
Dressés de part et d'autre du chemin.
Mais je ne veux me soucier des lendemains.
Dépasser les nuages
Pour ne pas entendre l'orage!

7 commentaires:

  1. Ma poètesse Karine
    en doux crayon montrant sa mine

    craint tant les eaux
    que la mer mon matelot

    elle grossit les orages
    à la moindre flaque ô rage

    J'ai bien connu un compagnon
    qui s'abritait sous un champignon !

    Jack

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  2. Jack, je dois dire que tu as le chic pour m'oter les mots de la bouche; j'en reste coite.
    Ton compagnon serait-il schtroumph ou lutin?
    Juste merci! (vous me gatez trop messieurs :o))
    Bonne nuit!

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  3. Dis Karine, tu crois qu'on entend plus les orages quand on est au dessus des nuages? ^^
    Très joli poème ;)
    Bisous

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  4. Laisse-moi mes petits reves, Renaud; l'orage que je fuis serait surement lointain :o) Desolee, l'humeur est lugubre aujourd'hui :s
    bisous

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  5. bel ode karine!mais on sent la nature s'assombrir,étouffante meme?
    Quelle que soit le lieu ou vivent nos craintes,aucune distance ne sera assez grande pour effacer leurs existances,peut etre eviter d'en faire réference afin d'adoucir leurs présences.

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  6. Et l'histoire sans queue, ni tête, annoncée ?
    J'en ai eu vent de mon bateau, et aussi de mon tableau de bord !

    Tu as changé d'avis ?
    Dommage...^^

    bisous bisous
    Jack

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  7. Bah elle est la mon histoire, Jack! Pourquoi tu la vois pas? :s

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