dimanche 3 mai 2009

Le rejoindre

Dans les bras grands ouverts de Morphée
Où je m'apprête à tendrement me blottir.
Relâchement mérité de l'esprit qui va s'assoupir.
Mon oreiller m'attend avec un soupir.
Instant de délice anticipé.
Rare moment de félicité.


Je crois que j'ai sommeil ;o)

6 commentaires:

  1. C'est vrai, Karine, c'est un merveilleux moment...

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  2. Ah ! Je sens que je vais m'assoupir aussi!
    Joli poème...

    Bonne nuit Karine Zz
    Jack

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  3. Je me réveille depuis peu, mais tu me donnerais presque envie de retourner dans mon sommeil ;)

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  4. Super moment c'est vrai on ne s'appartient presque plus,on se laisse guider...mais bon j'ai eu un petit espoir quand au titre,mais bon si c'est de l'oreiller que tu parles(je plaisante et ça fait un bien fou de revenir)bises parce qu'il n y a plus rien!!! a tres bientot?

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  5. Oh oui, que l'assoupissement est un chouette moment quand il s'en vient.
    Esquisse, desolee pour l'espoir decu ;o) Un jour peut etre... Je suis tres heureuse de te voir de retour (t'es passe au dessus d'un poeme au fait; pas vu? hihi ce que je peux etre exigeante parfois)
    bisous

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  6. Pour moi un moment difficile depuis toujours le sommeil, à croire que je lutte contre...
    Tu as dans ce texte une tournure différente de tes autres poèmes, c'est tout joli, Karine, tout comme toi ... A très bientôt :-)

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