Haro sur les éclats parsemant mon paysage,
Un peu de silence me rendrait plus sage.
Ralenties les idées qui germent dans mon crane,
Le roulis des cris s’installe en filigrane.
Eparpillé parmi les affres de la conscience,
Mon esprit tente désespérément de trouver la réponse.
Elle erre aux frontières de l’oubli,
Ne cesse de me laisser affaiblie
Tout à la tentation de succomber au bruit.
chere Karine,je pensais que celui de la derniere fois n'etais,qu'une simple reflexion"bruyant",mais la...la pression sur les sens auditifs m'ont suggeré de penser que,tout ce qui pouvait t'isoler ces jours ci en silence serait tout simplement "le BRUIT".a moins que d'autres bruits sous d'autres formes,se manifestent aussi?
RépondreSupprimerEn attendant de nous faire savoir "QUIES",je souhaite que tu puisse trouver assez de silence pour te reposer...
Faire taire ce vacarme intérieur, que c'est difficile parfois, si c'est de ça dont tu parles Karine, mais pas impossible.
RépondreSupprimerEt après quand cela sera le cas, tous les murmures deviendront si doux que tu les apprécieras d'autant ;)
Bonne nuit karine et bisous
la parole est d'argent mais le silence est d'or...le silence souvent apporte les solutions...enfin pour moi
RépondreSupprimerToute mon affection Karine
Le bruit est réel; les éclats de voix me stressent! Ce n'est pas nouveau mais parfois, ça m'oppresse et pour une fois, ce n'est pas un tumulte intérieur :o) Parfois du mal à garder mon calme, mon sourire.... Bref, ça passe!
RépondreSupprimerJ'ai très rarement ce silence que j'apprécie tant!
Lalwende, ça aussi, mais c'est différent ;o)
bisous