Petit à petit, l’esprit se blottit
En un monde où une lueur luit.
Nul ne vient le troubler
Sous peine d’être refoulé.
Il se profile à pas feutrés,
Vient l’envelopper dans le duvet
Et, sans bruit, le berce avec volupté.
Un Air d'Opéra
Il y a 1 mois
pour poursuivre,ces douces paroles...comme dans un cocon de soie,engourdit par le bien etre,nuls mouvements ne pourraient et ne devraient le sortir de cette etat,caline attention d'un ange au firmament,attention toute fois,a ne pas prendre gout a l'isolement...
RépondreSupprimerBisous,et pour les mots ne te fais pas de maux de tetes,ils sont bien la...je n'en doute pas,il faut peut etre qu'ils prennent le temps de se mettre en place,et surtout de ne pas vouloir sortir tous en meme temps(rires)...
Pas troublé...sous peine d'être refoulé.
RépondreSupprimerSe profile...Le berce avec volupté.
T'es bien une fille, Karine. Des fois faut savoir danser avec tant de contradiction...
Tu es ailleurs, peut-être !
Besos ;-)
Jack
Coucou Karine ! :-)
RépondreSupprimerTu es encore inspirée aujourd'hui ! :-)
BRAVO !
*** BISOUS A TOI ***
Karine et Esquisse je suis toute émue quand je vous lis ! Chez vous deux, tout est tellement bien écrit...
RépondreSupprimerBises et Re bon dimanche !
J'aime beaucoup les deux premières lignes :
RépondreSupprimerPetit à petit l'esprit se blottit en un monde où une lueur luit.
Bonne journée Karine. :-)
Je connais ces sentiments Karine
RépondreSupprimerAlors continue de rêver pour te blottir un peu et t'envelopper dans ce cocon protecteur.
Bisous!
@ Esquisse, les mots reviennent sans trop de maux ;o)
RépondreSupprimer@ Jack, tu me trouves contradictoire? Envie d'un enveloppement sans être bousculée, je dirais...
@ Nancy, ça revient :o)
@ Virginie, je te remercie; quant à être comparée à Esquisse, je suis honorée!
@ Je suis le temps qui passe, c'est de là que tout est parti...
RépondreSupprimer@ Lalwende, je nous vois bien assises dans l'herbe la tête dans le ciel ;o)
bisous
Bonsoir Karine...ailleur ,un exterieur souvent esperé,belle image que celle de la lueur,toujours un signe de retraite ou de sortie,ce besoin d'echapper,et de s'extraire de ce verre qui se remplirait trop vite.Bien souvent cet ailleur né a l'interieur,et le plus court chemin c'est bien en soi qu'on doit le trouver.
RépondreSupprimerKarine,ce n'est bien sur que des mots,mais peut etre que ce desir tu l'assouvira avec les tiens.Je te souhaite une bonne nuit ,je repars...ailleur!
Cahetel
coucou ma Karine...moi aussi en ce moment je suis un peu silence radio mais tu sais que je suis là et te suis au gré de tes humeurs...
RépondreSupprimerj'en profite pour dire bonjour aux amis de blog, jack, nancy, lawlende, et puis Cahetel que je découvre par un très gentil comm sur mon blog à qui je vais répondre
Tendresse chère karine je t'appelle vite
@ Cahetel, j'ai bien souvent l'impression d'être ailleurs. mais c'est sans doute une autre histoire :o)
RépondreSupprimer@ Nanou, je sais bien que silence ne signifie pas forcément éloignement! je t'embrasse fort