Rage qui revient comme une marée,
Comme une vague lente qui peut tout emporter.
Me jugerez-vous désagréable?
De porter le blâme, je suis capable.
Ne pas m'accepter pour ce que je suis
Revient à m'envoyer dans l'oubli.
Je ne suis pas par vous, à travers vous.
Mon esprit ne s'élève que par devers vous.
Peuple qui m'oppressez,
Ames avides qui ne cherchez qu'à m'opprimer.
Je cherche de toutes mes forces à vous échapper
Mais vous continuez à m'agripper dans vos filets.
Je ne veux pas de votre venin
Qui ne ferait que me salir les mains.
Mais le choix m'est-il laissé
Afin que je retombe sur mes deux pieds?
J'apprendrai à me détacher
De chaque maille infime de cette nasse si serrée,
Et, debout, je finirai...
Ce poème sert justement à l'évacuer cette oppression !
RépondreSupprimerAh, les mots viennent tout seul quand on est en colère...
Bises et bonne nuit, tout s'arrange, Karine !
Jack
Karine,la lueur de ces mots ne pouvait que m'attirer...changement d'etre ou d'etat ne peut engendrer que ce genre d'atmosphere...entourage un peu serré,ou passé encore un peu enfoui trop pres de sa peau...un mot "evacuer" les vraies valeurs ancrées ,elles sauront restées...je ne suis pour l'instant qu'entre deux.Je repasserai...
RépondreSupprimer@ Jack, je préfère laisser les mots sur mon blog plutôt que d'être véhémente avec des gens qui n'en feraient qu'une mauvaise interprétation et surtout avec qui ça ne sert à rien... bref, ça m'a fait écrire ;o) bises
RépondreSupprimer@ Cahetel, "évacuer" est le mot... mais il y a des personnes qu'on ne peut malheureusement pas évacuer... Merci de tes mots et le passage est long mais fructueux, j'en suis sûre!