Mon cerveau fait des bulles
Et ma plume déambule
Le long des allées encombrées
De mes pensées désordonnées.
Je cherche la clé des champs
Et ne trouve que du vent.
Vent de colère, vent de misère,
Que me réserve la terre-mère?
J’en appelle à son apaisement,
A son immense pouvoir calmant.
Me fondre dans une herbe folle
Et entrer dans la grande farandole
De l’union des éléments
Qui se perdent dans l’infiniment grand.
Me dissoudre dans l’eau du torrent
Pour simplement suivre le courant
Qui me mènera à l’océan
Où se rencontrent les navigants.
Puiser, puis me perdre.
M’arrêter, puis reprendre…
Ecriture de nuit d'insomnie :) Un poème d'1h du mat'
Sur l'Océan, il y a mon bateau Karine...Je laisserais ta flotte tranquille, rangeant mes sabres et canons !
RépondreSupprimerVogue ton navire...Joli poème !
Besos
Jack
Ver le grand large ou sur le sable,espace liquide emprise de personne, aucune attache,que le vent qui accorde les desirs de pouvoir sentir et tenir se qui vous attire...sur la plage ou les pas meme difficiles vous amenent quand meme quelque part.
RépondreSupprimerBelle image que celle de se dissoudre pour suivre le courrant...
beau poeme,meme a une heure du mat
Bises
Tu fais bien d'en appeler la terre-mère, elle sait souvent bercer les colères.
RépondreSupprimerBonne nuit Karine.
Bisous
Rassemble tous tes poèmes Karine... je suis certaine que cela fera un superbe recueil !
RépondreSupprimerJack, j'essaierai de t'apercevoir sur ton hamac ;)
RépondreSupprimerEsquisse, tes mots résonnent encore bien loin :) Merci...
Lalwende, les doigts toujours en contact avec un élément; j'essaie :)
Bérénice, pour l'instant, il y a plusieurs cahiers, qq pages volantes et un joli carnet où j'avais commencé à recopier mais je ne suis pas assez constante ;) Merci.
Bisous et bonne journée à tous