Pensées vermeilles.
Mon coeur se serre
Ma plume espère.
Mon oeil s'égare au-dehors
Ou un rayon de soleil éclaire l'aurore.
Un oiseau m'appelle
Ou est-ce l'éclat d'une coccinelle?
Je m'oublie dans cette nature
Où, malgré tout, m'interpellent tous ces murs
Dressés de part et d'autre du chemin.
Mais je ne veux me soucier des lendemains.
Dépasser les nuages
Pour ne pas entendre l'orage!
Ma poètesse Karine
RépondreSupprimeren doux crayon montrant sa mine
craint tant les eaux
que la mer mon matelot
elle grossit les orages
à la moindre flaque ô rage
J'ai bien connu un compagnon
qui s'abritait sous un champignon !
Jack
Jack, je dois dire que tu as le chic pour m'oter les mots de la bouche; j'en reste coite.
RépondreSupprimerTon compagnon serait-il schtroumph ou lutin?
Juste merci! (vous me gatez trop messieurs :o))
Bonne nuit!
Dis Karine, tu crois qu'on entend plus les orages quand on est au dessus des nuages? ^^
RépondreSupprimerTrès joli poème ;)
Bisous
Laisse-moi mes petits reves, Renaud; l'orage que je fuis serait surement lointain :o) Desolee, l'humeur est lugubre aujourd'hui :s
RépondreSupprimerbisous
bel ode karine!mais on sent la nature s'assombrir,étouffante meme?
RépondreSupprimerQuelle que soit le lieu ou vivent nos craintes,aucune distance ne sera assez grande pour effacer leurs existances,peut etre eviter d'en faire réference afin d'adoucir leurs présences.
Et l'histoire sans queue, ni tête, annoncée ?
RépondreSupprimerJ'en ai eu vent de mon bateau, et aussi de mon tableau de bord !
Tu as changé d'avis ?
Dommage...^^
bisous bisous
Jack
Bah elle est la mon histoire, Jack! Pourquoi tu la vois pas? :s
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