Le flot est parsemé de bulles d'air.
Un regard sur le courant,
Envie plongeante de s'immiscer dans le vent.
Poissons argentés qui vous invitent à la danse.
Pour respirer, se présente un roseau immense.
Telle une anguille, je me faufile.
Entre les galets, je suis le fil.
Le but est vaste et lointain,
La liberté à portée de mains.
Océan de pensées qui se perdent dans l'espace,
Jetées en gouttelettes sur la place.
Ne rien rassembler,
Laisser glisser,
L'oubli reste ancré à quai.
Rien de mieux que la fraicheur de l'eau pour soigner une brulure...
RépondreSupprimerEt surtout laisser l'oubli derrière soi, pour recommencer autre chose, ailleurs et en mieux...
Je trouve tes mots vivifiants, des mots qui te portent plus loin,pour avancer...
Tu as raison Karine, il faut laisser glisser, glisser !
Je t'embrasse très fort et heureuse de te retrouver dans ton petit chez toi !
Belle semaine...
je t'embrasse je lis tes mots je pense à toi ... je perd certins vrais repères de mes amis de blogs ! y trouve tu une explication ,
RépondreSupprimertu restes uelqu'un d'important , toujours
je ne sais me disperser je suis attachée à mes repères... tu en es un
@ Virginie: merci de rester là; tes passages sont toujours agréables! Je m'accroche au réel en ce moment, même si dans le fond, ce n'est pas ce que je préfère... et entre le boulot et les enfants en vacances, la tête et le corps sont bien occupés!
RépondreSupprimer@ Nanou: je n'oublie personne, juste pas trop le coeur ou la disponibilité pour passer chez chacun, donc je ne vais nulle part. Là, je m'aperçois que mes enfants partent bientôt et que je ne les verrai pas pendant 4 longues semaines pour la 1ère fois; un sentiment qui passera comme tant d'autres...
Je vous embrasse! A bientôt!