Une nuée d’oiseaux s’étale dans le ciel sans nuage
Et s’éparpillent les présages.
Un courant d’air frôle ma joue
Comme une invitation à ce geste fou,
Quand mon esprit s’égare dans un espoir flou.
Départ pour les hautes cimes des arbres
Pour échapper à ces humeurs macabres.
Le temps et l’espace me rattrapent
Dans mes envolées qui dérapent.
Besoin de peaux qui se touchent, trop dense
Quand on ne trouve que le silence et l’absence.
Sourire de promesses, regard d’évasion,
Voix de l’horizon… Toujours cette même chanson
Qui revient comme une ritournelle
Connue mais à jamais recommencée
Où se perd l’odeur charnelle
De cet autre qui s’évapore dans la fumée.
*** Tu sais Karine comme j'aime venir chez toi, tes poèmes sont toujours bien pensés, bien écrits et si touchants !!! ***
RépondreSupprimer*** GROS BISOUS et bon lundi à toi ! ***
Ah enfin revoilà notre chère poète...
RépondreSupprimeret çà me fait super bien plaisir...
je souhaite que tout aille bien pour toi Karine et je te fais un énorme bisou
j'ai un petit cadeau pour toi sur mon blog...
RépondreSupprimerKarine,le sens des mots est bien en place,et j'espere que tous ses souhaits evoqués ou devinés sauront trouver ton espace ou se poser.Mais je sents que ça ne va pas tarder(ne me dit pas que j'ai le nez bouché!lol)
RépondreSupprimerJe te fais de gros bisous
Esquisse
Merci à vous de votre passage, de vos mots; la fatigue me vole les miens en ce moment (mon boutchou très enrhubé, le boulot et la course aux démarches inabouties... je le redis? J'y arriverai ;o))
RépondreSupprimergros bisous
Bonsoir Karine,
RépondreSupprimerJ'avais dit que je viendrais te faire un petit signe, juste comme ça, parce que j'en avais envie et le temps... Ce temps qui nous fait défaut mais qu'il faut essayer de prendre ne serait-ce que pour rendre visite à un être familier, pour prendre du recul, pour penser, pour décider.
Le temps que l'on prend n'est jamais perdu.
Il y a des moments plus difficiles à traverser dans la vie. On y arrive toujours !
Après la pluie vient le beau temps, mais pour que le beau temps vienne Karine, il ne faut pas lui tourner le dos. Il faut croire et vouloir.
Tout est possible, à condition de vouloir.
Gros bisous et essaie de te reposer, car la fatigue empêche de vouloir.
Bonne route. Do
*** Hello Chère Karine ! ***
RépondreSupprimerTu as plein de choses à faire en ce moment et oui tu en viendras à bout parce que tu es une battante Karine !!!!" C'est très bien !!!!
J'espère que ton bout'chou va mieux ...
*** BON WEEK-END et GROSSES BISES à toi et aux tiens !!!! ***
Bonjour,
RépondreSupprimerTu as écrit là un poème qui me ressemble un peu.
"Une nuée d’oiseaux s’étale dans le ciel sans nuage
Et s’éparpillent les présages." "Le temps et l’espace me rattrapent
Dans mes envolées qui dérapent.
Besoin de peaux qui se touchent, trop dense
Quand on ne trouve que le silence et l’absence.
Sourire de promesses, regard d’évasion,
" je suis sans voix, tellement c'est beau.
@ Enfer noir, merci. Tout ça me colle un peu à la peau en ce moment. Une représentation de l'âme qui tournoie dans un univers qui est le mien également; un regard par la fenêtre...
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