Vaste domaine des sentiments.
Léger plongeon dans l'écume
Un jour perdu dans la brume.
L'évaporation se fait plus dense
Et l'esprit se lance dans la danse.
Des pensées errent misère sans but
Accrochées à une vague qui lutte
Refusant de s'aplatir sur cette plage,
Voulant atteindre la tour des sages.
Douce mélancolie qui nous tient la main,
Humidité essuyée d'un doigt soudain.
Baisser les yeux vers les reflets bleus
Pour échapper à l'attentif malin.
Come what may...
Sommes nous en mer,
RépondreSupprimerSommes nous amers
Enrobés et berçés
Sous cet air marin
Enrolés et tirés
Sous ses airs malins...
Présence d'un quai,
rivage dessiné
Par quel bout de plage
Devrais je accosté.
Sentiments passés,
Vivre ses présages,
comme sages pensées,
un pas sur la plage
tout recommençer...
Coucou Karine,l'eau etait fraiche je ne suis pas resté trop longtemps ...bises
Poser
J'ai lu ton poème tout à l'heure, mais je n'ai rien laissé...Oups !
RépondreSupprimer..."Il vient ce qui peut" et là, c'est un petit bonsoir Karine !
Il fait meilleur dans le Sud, on peut respirer ce soir...
bises
Jack
Et ce léger vent saura envoyer nos pensées vers Karine, ce soir ! N'est ce pas Rackham ?
RépondreSupprimerTout à fait fait Bérénice, même si j'ai peur que mes ronflements fasse fuir les oiseaux...
RépondreSupprimerBonne nuit à vous deux.
De mon hamac...
Biz
Jack
C'est divinement beau et je fais court afin de ne pas salir ce joli tableau de mots exquis !
RépondreSupprimerEsquisse, j'ai laissé la mer (l'amer) à des centaines de kilomètres, mais les 1ers pas sont toujours un peu indécis bien que confiants. Merci de ces qq vers qui réchauffent malgrè l'eau froide :)
RépondreSupprimerJack, vienne ce qui pourra et si c'est une bise légère et qui respire, on fera fi de qq sonorités ronflantes ;)
Bérénice, merci de ton passage et de tes pensées.
Macao, je te remercie également. Amitiés.